LES CLES DU DIMENSIONNEMENT
Ouvrages en commandePhotovoltaïque autonome
Photovoltaïque raccordé au réseau
Formations ouvrant droit au label RGE
Formation QUALIPAC
Formation QUALIPV
La typologie des combustibles en bois-énergie
Il existe deux grandes catégories de combustibles bois :
Sont distinguées :
Le plan du cours est le suivant :
Les écorces sont très hétérogènes en taille. Leur humidité est élevée. Lorsqu’elle dépasse 50 %, il est impératif de réaliser un mélange avec un combustible plus sec de manière à permettre les montées en puissance de la chaudière.
Le taux de cendres est le plus élevé de tous les combustibles bois (supérieur à 5% de la masse anhydre), ce qui est dû à leur richesse en minéraux et à l'incrustation de terre fine lors du débardage en forêt et du stockage des grumes. Ce phénomène est d'autant plus accentué que l'écorce est rugueuse.
L'utilisation d'écorces en chaufferie n'est possible qu'avec des technologies « lourdes » au niveau du désilage (racleurs), de l'alimentation (tapis) et de la combustion (grilles inclinées mobiles, forte inertie). Les coûts d'investissement et de maintenance de ces équipements sont élevés mais compensés par le bas prix du combustible. Les écorces sont orientées de préférence vers les chaufferies de forte puissance (supérieure à 1 MW).
- Le bois-bûche, qui implique une alimentation manuelle (grande variabilité des dimensions),
- les combustibles qui autorisent une alimentation automatique (caractéristiques dimensionnelles relativement homogènes).
Sont distinguées :
- Les écorces
- les sciures humides
- les plaquettes
- le broyat de bois de rebut
- les copeaux et sciures sèches
- les granulés
Le plan du cours est le suivant :
LA TYPOLOGIE DES COMBUSTIBLES EN BOIS-ENERGIE
Les écorces
Les écorces sont très hétérogènes en taille. Leur humidité est élevée. Lorsqu’elle dépasse 50 %, il est impératif de réaliser un mélange avec un combustible plus sec de manière à permettre les montées en puissance de la chaudière.
Le taux de cendres est le plus élevé de tous les combustibles bois (supérieur à 5% de la masse anhydre), ce qui est dû à leur richesse en minéraux et à l'incrustation de terre fine lors du débardage en forêt et du stockage des grumes. Ce phénomène est d'autant plus accentué que l'écorce est rugueuse.
L'utilisation d'écorces en chaufferie n'est possible qu'avec des technologies « lourdes » au niveau du désilage (racleurs), de l'alimentation (tapis) et de la combustion (grilles inclinées mobiles, forte inertie). Les coûts d'investissement et de maintenance de ces équipements sont élevés mais compensés par le bas prix du combustible. Les écorces sont orientées de préférence vers les chaufferies de forte puissance (supérieure à 1 MW).